Les établissements de l’Université Catholique de Lille proposent un très large éventail de formations : 350 au total. Les facultés et écoles, labellisées EESPIG, sont reconnues par l’état et à l’international au travers de notre réseau de partenaires.
Trouvez votre formation en sélectionnant plusieurs critères comme le type (initiale, alternance…), le diplôme (licence…) ou encore le mode d’admission (parcoursup pour ex.)… dans le catalogue ci-dessous.
La formation initiale correspond au parcours diplômant suivi par un étudiant avant d’entrer sur le marché du travail. Elle permet d’acquérir les connaissances, savoirs et compétences nécessaires pour entrer dans la vie active.
La durée de cette formation varie selon le cursus choisi dans l’un de nos établissements : Licence, Bachelor, Licence professionnelle, Master, Diplôme d’ingénieur, de commerce…
S’y inscrire, c’est :
• Suivre une formation théorique à plein temps.
• Bénéficier du statut d’étudiant.
• Se préparer à la vie active grâce aux stages.
L’alternance est une formation qui combine la théorie (cours à l’université) et la pratique (travail en entreprise). L’étudiant bénéficie alors d’un statut de salarié.
On y distingue deux types de contrats : le contrat d’apprentissage et le contrat de professionnalisation.
La formation continue vise à acquérir de nouvelles compétences et connaissances, favorisant ainsi la formation tout au long de la vie et l’obtention de nouveaux diplômes et titres de l’enseignement supérieur.
Elle s’adresse aux salariés, entrepreneurs et demandeurs d’emploi.
Elle s’adapte aux besoins et aux spécificités des secteurs d’activité concernés.
La formation à distance offre la possibilité d’accéder à des cours et exercices en ligne, avec un accompagnement et un suivi assuré par des professeurs et des ingénieurs pédagogiques.
Elle offre également la possibilité de passer les examens à distance, sous réserve de certains critères spécifiques selon les formations.
Les Crédits ECTS
L’ECTS sert à favoriser la mobilité des étudiants entre les établissements d’enseignement supérieur. Le Système Européen de Transfert et d’Accumulation de Crédits (ECTS) est un système d’évaluation destiné à améliorer la transparence des études et des cours. Les catalogues de cours, les contrats pédagogiques et les relevés de notes contribuent à la reconnaissance et au transfert des crédits obtenus par les étudiants lors des périodes de mobilité à l’étranger.
Issu du processus de Bologne, il vise à comparer les systèmes éducatifs nationaux à l’échelle internationale et permet la flexibilité des programmes d’études, leur planification, leur organisation et leur mise en place.
Les crédits ECTS offrent une valeur similaire aux formations suivies par un étudiant.
Les crédits sont validés après chaque semestre et sont cumulés selon un barème :
• Un ECTS est obtenu après 25 à 30 heures de cours.
• Pour valider un semestre, vous avez besoin de 30 ECTS.
• Pour terminer une année universitaire, vous devez en avoir 60.
Sont crédités :
• Les Cours
• Les TP
• Les examens
• Les stages
L’ECTS facilite donc la mobilité des étudiants de l’Université Catholique de Lille vers l’une de nos universités partenaires.
Adopté par la plupart des pays de l’Espace Européen de l’Enseignement Supérieur en tant que système national de crédits, l’ECTS est également de plus en plus utilisé ailleurs dans le monde.
Catalogues
Schéma des études
Nos diplômes
Les diplômes nationaux
BTS – Brevet de Technicien Supérieur
Le Brevet de Technicien Supérieur est dispensé en section de technicien supérieur au lycée. Accessible après le baccalauréat, on y dispense des enseignements spécialisés. La formation théorique est accompagnée d’une formation pratique : un ou plusieurs stages en entreprise. Elle permet d’obtenir un diplôme professionnalisé en deux ans.
Les BTS sont dispensés au sein de nos lycées associés.
Licence
La licence est un diplôme national de l’enseignement supérieur qui se prépare en six semestres à l’université. Elle valide l’obtention de 180 crédits E.C.T.S.
Le diplôme de licence prépare à la fois à la poursuite d’études et à l’insertion professionnelle. Il atteste l’acquisition d’un socle de compétences diversifiées : des compétences disciplinaires, préprofessionnelles, transversales et linguistiques. Ces compétences sont précisées pour chaque mention dans les référentiels de compétences en licence.
La licence permet de candidater en cursus master.
Licence professionnelle
La licence professionnelle est un diplôme national de niveau bac + 3 (niveau 6 du répertoire national des certifications professionnelles – RNCP) qui confère à son titulaire le grade de licence. Mis en place en partenariat avec les entreprises et les branches professionnelles, ce diplôme est conçu pour permettre l’insertion professionnelle. Ce format de licence offre la possibilité d’un parcours d’études courtes sans nécessiter de poursuivre en master.
Master
Un Diplôme National de Master (DNM) est un diplôme de deuxième cycle délivré par les établissements d’enseignement supérieur accrédités par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Il se déroule sur deux années d’études : master 1 et master 2.
Le master intervient après un diplôme de premier cycle (Diplôme National de Licence ou DNL conférant 180 crédits ECTS), dans la limite des capacités d’accueil fixées par chaque établissement.
Pour obtenir le diplôme de master, il convient de valider 120 crédits ECTS (European Credits Transfer System : système européen de transfert et d’accumulation de crédits). Ainsi, le DNM valide 5 années d’études post-bac soit un total de 300 crédits ECTS.
Doctorat
Le doctorat, d’une durée de trois ans après l’obtention du diplôme national de master ou sur la base de la reconnaissance d’un niveau équivalent, permet d’obtenir, après soutenance d’une thèse, le grade de docteur. Le doctorat est le plus haut diplôme de l’enseignement supérieur.
Les Diplômes Universitaires (DU) et le Diplôme Inter-Universitaire (DIU)
Le DU (Diplôme Universitaire ou Diplôme d’Université), aussi appelé DE (Diplôme d’Etablissement), ne s’inscrit pas dans le schéma traditionnel des diplômes universitaires. Il est le seul à ne pas être soumis à une habilitation du ministère de l’Enseignement supérieur. Il est ainsi délivré directement par une université française, contrairement aux autres diplômes qui sont délivrés au nom du ministère.
Le DIU (Diplôme Inter-Universitaire) est, quant à lui, organisé en commun par plusieurs Facultés, issues d’Universités différentes.
Les diplômes des écoles de commerce et d'ingénieur
Bachelor et BBA
L’appellation “bachelor” désigne des cursus en 3 (bachelor) ou 4 ans (BBA) après le bac, dispensés par des écoles privées, notamment des écoles de commerce ou d’ingénieurs. Il en existe aujourd’hui dans toutes les disciplines, avec une forte hétérogénéité en termes de sélection, insertion professionnelle, etc…
Mastère / MBA
Le mastère est un label des grandes écoles et non un diplôme. Il est accessible en bac +4/bac +5 et équivaut à un niveau bac +5/+6.
Le MBA (Master in Business Administration) est quant à lui un label créé par la Conférence des Grandes Ecoles et reconnu au niveau international. Il nécessite une expérience professionnelle.
Master of Science (MsC)
Le MsC (master of science) est un diplôme international. Il offre l’opportunité à des étudiants déjà diplômés de l’enseignement supérieur de se spécialiser davantage.
Titre d'ingénieur
Les diplômes d’ingénieur sont délivrés par des établissements accrédités par la CTI (Commission des titres d’ingénieur). Ils donnent accès au titre d’ingénieur diplômé, qui valide la formation reconnue en France comme à l’étranger.
Les écoles d’ingénieurs publiques et privées, accréditées sur avis ou décision de la CTI, sont les seules à délivrer le titre d’ingénieur. Parmi elles, certaines sont internes à une université.
Les diplômes canoniques
Baccalauréat canonique
Le Baccalauréat en théologie (1er cycle) est un parcours proposé à toute personne qui souhaite connaître et comprendre les éléments fondamentaux de la foi chrétienne, aussi bien que les sources du Christianisme, à partir d’une démarche qui articule de manière cohérente l’histoire, les sciences humaines, la philosophie et la théologie.
L’enseignement dispensé forme un corps organique qui garantit aux étudiants une formation solide et bien structurée. À la fin de ce parcours l’étudiant sera en mesure de lire et d’interpréter l’Écriture dans la Tradition ecclésiale, d’expliquer le contenu de la Révélation et de rendre compte de la logique de la foi dans le contexte contemporain.
Licence canonique
La licence canonique en théologie (deuxième cycle) est accessible aux seuls détenteurs d’un baccalauréat canonique en théologie ou équivalent.
Il s’agit d’un cycle d’approfondissement des questions bibliques et théologiques, avec un questionnement critique et une approche orientée à la recherche. En ce sens, il forme les étudiants qui se destinent en priorité à des missions d’enseignement ou de recherche en théologie.
Les deux ans du cycle permettent aux étudiants de développer la maîtrise d’un ensemble de savoirs et de méthodes de recherche, en vue d’une lecture rigoureuse et critique de l’Écriture, de la Tradition, du Magistère et des divers corpus théologiques afin de produire un discours personnel inscrit dans la tradition catholique.
Doctorat canonique
Le troisième cycle de la faculté de théologie prépare à la rédaction et à la soutenance d’une thèse de doctorat canonique en théologie.
La formation doctorale est ouverte aux étudiants de toutes nationalités titulaires d’une licence canonique en théologie (d’une mention égale ou supérieure à cum laude), tant laïcs que religieux ou clercs.
Elle s’effectue principalement par l’élaboration et la rédaction de la thèse sous la direction d’un professeur de la faculté, et par la participation à des séminaires méthodologiques, thématiques et de recherche, des journées doctorales et des colloques.
La durée des études est de quatre ans à temps plein, sauf dérogation. Après la soutenance publique, l’approbation et la publication de sa thèse, l’étudiant reçoit le diplôme de Docteur en théologie. Pour être approuvée, la thèse doit contribuer au progrès de la science dans le domaine de l’exégèse, de la patristique, de la morale, de la théologie fondamentale ou de la théologie dogmatique.
