Faire preuve d’une maîtrise suffisante de la langue française écrite pour produire une réflexion argumentée et dialectique sur un sujet de réflexion donné, un article de presse ou la présentation d’un cas.
Compétences visées:141(1411/1412,)142(1421/1422),146(1461), 83(831)
L’étudiant sera capable de:
– Identifier certains facteurs psychologiques pouvant orienter sa conduite (conformisme, soumission à une autorité confondue avec le sujet-supposé-savoir) ou celle des autres acteurs en jeu dans une situation professionnelle ou privée.
– Différencier la dimension imaginaire de la dimension symbolique qui caractérisent les relations intersubjectives.
– Prendre en considération certaines des limites internes qui affectent tout système de concepts ou de valeurs dans l’évaluation des faits auxquels le sujet sera confronté.
– S’appuyer sur la connaissances de la rupture qui sépare les représentations naïves des savoirs scientifiques, ainsi que sur les conséquences qui s’en dégagent, pour toute évaluation éthique ou cognitive des phénomènes et des situations complexes.
Neuf séances de cours semi magistraux incluant pour certains les analyses de documents audiovisuels, les cinq premières séances insistent plutôt sur la façon dont notre “affectivité” peut altérer nos prises de décisions, les quatre suivantes portent, elles, sur les limites de notre faculté de connaître et tout particulièrement sur les défauts de ce qu’on appelle l’intuition ou le bon sens.
1 et 2 : soumission à l’autorité( psychologie sociale)
3-4-5 : les déterminants de l’esprit humain. Approche neurobiologique et approche psychanalytique
6 : la théorie de la relativité
7: la théorie M.
8 : la théorie des nombres transfinis et les paradoxes logiques.
9 : épistémologie et éthique : les conséquences des découvertes fondamentales sur notre représentation de la réalité et sur les fondements de notre éthique.
